Comment est attribué le temps d’observation ?
La France a concentré ses efforts sur MIRIM, l’imageur de MIRI. Sous contrat avec l’ESA, le CNES assume la responsabilité générale de la participation française au développement de MIRIM, et a délégué au CEA, à travers le Département d’Astrophysique du CEA/Irfu, la direction des aspects techniques liés à sa construction. L’Irfu assure aussi la direction scientifique du projet pour ce qui est de la contribution française, laquelle provient de 4 laboratoires : l’Irfu au CEA-Saclay, le LESIA de l’Observatoire de Paris, l’IAS à l’Université de Paris-Sud, et le LAM à Marseille. MIRIM offre plusieurs modes d’observation, y compris un mode coronographique qui permettra de sonder le voisinage proche des étoiles et de détecter la présence de planètes et/ou de disques autour de certaines d’entre elles.